C’était six ou sept semaines après ma dernière plus disponible sérieuse, et je me sentais effectivement secoué. À 40 ans, on a confiance relativement souvent que la vie amoureuse est un chemin pavé de roses, mais une plus dispo est en capacité de tout transformer : on se redécouvre petit, on doute de soi, on perd un aperçoit sensible. Moi, je passais mes nuits à proximité de me poser mille questions : « Suis‑je passé pas loin de quelque chose ? Vais‑je retrouver cette dérive d’aimer ? Vais‑je être seul des années ? » Un soir, en scrollant sur mon mobile, je me considère tombé sur un texte prônant la voyance par mail tels que une manière fait le point de recevoir un suivi sur mesure. Pas d’appel téléphonique anxiogène, pas de rendez‑vous vers embrasser : j’écrivais, j’envoyais, j’attendais. Curieux, j’ai rédigé un mail à Olivier, le tarologue recommandé, en lui éclairant ma occasion amoureuse, mes incertitudes, mes phobies, et en lui posant trois questions précises : « Comment traiter de cette plus dispo ? Vais‑je recruter quelqu’un de nouveau dans les 8 prochains mois ? Qu’est‑ce que je dois changer en moi pour faire une relation saine ? » J’ai cliqué sur « transporter » et j’ai attendu, me priant si cela valait véritablement votre chance de partager aussi bien de choses personnelles avec un original.

quand la voyance par e-mail s'avère un coup de levier pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai bordeaux que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cette façon de faire n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont débuté à aboutir, et je me suis mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un brevet de technicien supérieur plus rassurante. Un soir de juillet, perturbé devant mes traditionnels de modération, je discute avec un copain qui me traite de la voyance par voyance olivier mail : « T’as une problématique, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus important qu’un tarot au téléphone ou un SMS de 3 simples mots. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, faisant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes hésitations, mes phobies, même mes mauvaises façons d'agir ( je séchais certaines fois les TD pour pendre en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une variété d’espoir et de négation.